UNE EXISTENCE ARTIFICIELLE OU EXISTENCE RÉELLE ?

Dès l'enfance pour la grande majorité de l'humanité , celle ci est formatée sur une existence artificielle . 

L'éducation, l'alimentation, la santé, l'environnement , la sédentarité sont les causes d'un mal être tant sur le plan physique et psychologique de l'individu.

Faisons un état des lieux :

1. L'environnement

L'individu dès son enfance, vit dans de grandes agglomérations. Des villes constituées de grandes tours, et de plus en plus hautes. Des caissons d'HLM, du béton partout , des murs rideaux. Des grandes avenues, le trafic incessant des automobiles, transports, et autres ; l'insécurité, des oiseaux qui ont disparus petit à petit. La ville connaît d'importants épisodes de pollution, la santé des enfants s'en ressent.   Côté sécurité, comme toute grande métropole  s' accrois, l'incivisme est vocation quelque soit les racines, propreté , sécurité routière , cambriolage et agression ne font que s'amplifier, hélas, le respect n'est plus la valeur de l'homme.

Les jours d'école, de collège, assis sur les bancs de l'école, ordinateurs, un programme d'enseignements théoriques insensés. Puis, la maison, des devoirs, les jeux vidéos, l'ordinateur, la tablette, iPhone etc ... L'atmosphère tendue, stressante dans l'ambiance familiale, des parents stressés ou travaillant après les heures de bureau .......
Une vie sédentarisée, quelques fois , une visite au parc ou au zoo voir des animaux dans des lieux qui ne leur appartient pas.

Voici un premier constat , poursuivons un deuxième point

2. La santé

Dès le plus jeune âge, l'enfant vivant dans cet environnement, est infecté de toutes sortes de maladies. Les vaccinations n'arrangent pas les conditions à l'immunité de l'enfant. La mauvaise hygiène alimentaire s'ajoute au complexe d'une mauvaise santé, par une alimentation et des boissons chimiques. les produits d'entretien et d'hygiène du corps contribuent à polluer l'organisme ainsi que l'air respiré. Et par la suite, la personne grandit et apportera à sa vie quotidienne les us et coutumes de la société modelée par des addictions: alcool, drogues, médicaments tels que : les benzodiazépines (somnifères) , les antidépresseurs et les anxiolytiques, où se mêle fatigue, stress, angoisses, peurs, dépressions, migraines etc etc etc.
Un plateau de poisons voici ce que l'on peut observer pour le deuxième point

Continuons par un troisième constat

3. La communication

l'incapacité de l'homme à communiquer que ce soit dans son entourage ou avec la nature.
L'apathie des gens détruisent leur capacité à communiquer même à des niveaux simples.
On voit l'étendue de la communication telle qu'elle est à son niveau le plus superficiel et «commercial».  Il n'y a pas de compréhension sérieuse,  parce qu'il n'y a pas de communication sérieuse - "les gens parlent sans parler - entendre". Personne n'ose prendre le risque de tendre la main. Chacun reste dans son coin. Une communication virtuelle et superficielle.
Ces différentes catégories de population , dans ces villes ne cohabitent que sous la contrainte (dans le métro par exemple) et s'ignorent splendidement le reste du temps. 
L'incapacité de l'homme à regarder le ciel, la nature . Il se base sur un GPS qui le guide pour un itinéraire en auto , à pieds pour se rendre à un restaurant, un rendez vous , l'individu a ses yeux fixé, la tête penchée sur une boite virtuelle qui offre des WhatsApp  . Et tout l'environnement il ne le regarde plus. 

4. Les conditions de travail

Les conditions de travail sont également liées à la santé.  Les effets déterminants les effets néfastes sur la santé sont les suivants:

• Des expositions aux agents cancérogènes, mutagènes et toxiques (agents chimiques tels que pesticides, certains métaux, etc.), 
• Des expositions à des facteurs de pénibilité
•  Des contraintes physiques marquées (postures pénibles, gestes répétitifs et manutention), 
• Un environnement agressif (bruit et températures extrêmes notamment), rythmes de travail contraints (travail de nuit, en équipe alternante)
• Des expositions à des facteurs de risque psychosociaux 

Les troubles anxieux et la dépression figurent parmi les maladies mentales les plus fréquentes dans les milieux de travail. 

Le syndrome d’épuisement professionnel, communément appelé « burn-out », est aussi fréquemment observé. Même si le burn-out n’est pas officiellement identifié comme une maladie mentale, il est reconnu comme le résultat d'un stress chronique lié au travail.

Facteurs de risque

Certains facteurs de risque liés aux conditions de travail peuvent favoriser le développement de certaines maladies mentales :

• surcharge de travail;
• manque de soutien et de reconnaissance;
• manque d’autonomie au travail;
• manque de communication et d’information;
• manque d’ouverture de l’employeur envers les mesures de conciliation travail-vie personnelle;
• relations tendues dans le milieu de travail (harcèlement psychologique, par exemple);
• manque de précision dans les consignes et les mandats;
• précarité de l’emploi, c’est-à-dire ne pas avoir de garantie de pouvoir conserver son emploi.
• Certains facteurs individuels, sociaux et économiques peuvent aussi être des facteurs de risque. Ainsi, les difficultés personnelles ou familiales et les problèmes financiers, combinés aux exigences liées au travail, peuvent parfois avoir des effets sur la santé mentale de certaines personnes. Ces personnes peuvent vivre une détresse psychologique passagère ou des difficultés d’adaptation, ou aller jusqu’à avoir des symptômes d’une maladie mentale. Et aujourd'hui de cette détresse nous observons une trop grande souffrance qui est devenue difficile à gérer. Cela conduit que les personne auront une pensée suicidaire et malheureusement nous assistons à un grand nombre d'individus qui sont passés à l'acte.

Les gens travaillent pour eux-mêmes. Le temps de chacun étant précieux dans le cadre d’une activité professionnelle Et si cela arrive, alors le travail n'apporte pas de plaisir et de bénéfice - un stress continu et un non-sens.

La conclusion de ce mode de vie n'est pas fameuse.

Un retour à une vie saine

L'enfant aura une bonne hygiène alimentaire, de la vraie nourriture, une eau propre et un air pur.
L'enfant connaîtra le bon goût des aliments, les odeurs, la couleur des légumes naturels, des fruits sans additifs chimiques! Une eau de la source et non d'origine purgée dans les égouts. Où des boissons tout sauf sains.
La communication avec la faune, la nature, la terre, savoir lire les messages du ciel, s'orienter avec le soleil par exemple. Avoir les yeux de partout scruter son environnement.
Des repas pris dans une ambiance calme à heure régulière pour la santé de son organisme. Une communication physique et non virtuelle , pas de IPhone ou smart phone, pas de télévision , penser juste à savourer des bons plats en famille .
La vie de l'enfant passe. Il est privé de la possibilité de courir chaque jour pieds nus sur l'herbe, de soigner les animaux, de les nourrir, de les soutenir. L'enfant est privé de la possibilité de voir la nature et la vie réelle. Tout cela a un effet néfaste sur l'état mental de votre enfant. 
Travailler intelligemment et humainement, le travail a un effet positif sur la santé mentale des personnes. Le travail contribue  au développement d’habiletés et de l’estime de soi .
On ne travaille pas pour produire plus et consommer plus , on travaille pour développer ses ressources, et bien entendu pour un revenu qui pourvoit aux besoins quotidiens financiers.

La santé est la vie, vie à savourer du moment présent , 


Franca Gagliardi




















l